| | Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute | |
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Nicholas Marlow Chants : 40 Arrivé(e) le : 21/07/2014 Avatar : Aaron Paul
FTWOTS | Sujet: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Lun 21 Juil - 22:44 | |
| nicholas marlow pros & cons NOM : Marlow. ϟ PRENOMS : Nicholas, Benjamin. ϟ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 6 janvier 1982, Boulder City, Nevada. ϟ AGE : 32 ans. ϟ STATUT CIVIL : officiellement marié en instance de divorce, officieusement célibataire. ϟ ORIGINE : américaine. ϟ ORIENTATION SEXUELLE : hétéro. ϟ METIER : arnaqueur. ϟ CARACTERE : agressif – ambitieux – autoritaire – colérique – débrouillard – habile – malhonnête – manipulateur – persévérant – persuasif – protecteur – provocateur – rancunier – rusé – têtu. ϟ AVATAR : Aaron Paul. ϟ CREDIT : mai gwern & tumblr.
Il est astraphobe et asthmatique en sus : l’orage provoque chez lui des crises de peur panique où il se retrouve à étouffer entre deux hurlements de fillette, planqué sous une table, dans un placard ou sous la couette ϟ Mieux vaut ne pas se risquer à le traiter de bâtard au risque de faire une connaissance impromptue avec ses poings ϟ Illusionniste amateur, il est particulièrement habile avec les cartes et se sert de ces compétences pour arnaquer les badauds, tricher au poker et draguer les filles ϟ Il a un goût prononcé pour la vie de luxe, mais n’a pas une thune à son nom ϟ Il fume comme un sapeur, et pas que du tabac ϟ Il a longtemps été consommateur de drogues dures, principalement l’héroïne, mais s’est offert une désintox après avoir manqué d’étouffer dans son vomi ϟ Il a un faible pour les rousses ϟ Plus sa cible est intelligente, plus il prend de plaisir à l’arnaquer ϟ Hypermétrope à crever, il y voit goutte sans ses lentilles et ne se résoudra jamais à porter des lunettes ϟ Il est 100% hétéro mais n’hésiterait pas une seconde à faire une exception pour Eminem ϟ Il y a un an et demi, il s’est marié à une inconnue après une énorme beuverie ; il a demandé le divorce dès le lendemain, mais elle refuse encore à l'heure actuelle de signer les papiers. | | ϟ Depuis combien de temps vivez-vous à Blackfeet ? Ah ouais t’es comme ça toi ? Pas bonjour ni merde, direct l’interrogatoire ? Tu m’excuseras mais j’ai pas trop le temps, là, j’aimerais bien me poser parce que j’ai le fondement qui proteste après les vingt-quatre heures de car que j’viens de me taper. Bah ouais, t’as cru quoi ? J’ai une tête à vivre ici franchement ? T’as pas vu que j’viens de sauter du bus avec mon gros sac et l’abruti congénital qui me sert de frère ? ϟ Aimez vous cet endroit ? Mais t’es con ou quoi, j’viens de te dire que je débarque, là ! J’ai jamais foutu les pieds ici et j’les y aurais jamais foutus si on avait eu assez d’argent pour aller plus loin. J’voulais aller à Toronto moi, merde, pas atterrir dans ce bled ravitaillé par les corbeaux ! ! Et on se pèle le jonc en plus, sa mère ! Sérieux, oublie les muffins et file-moi une corde comme cadeau de bienvenue, ça me sera plus utile. ϟ La culture et les traditions Cheyennes occupent-elles une place importante dans votre vie ? Les quoi ? Qu’est-ce que j’en ai à foutre moi ? Oh ça va là, t’excite pas, j’suis pas raciste hein, ‘tain ! Tu sais quoi ? J’mets tout le monde dans le même panier, rien à foutre de ton background : un pigeon, c’est un pigeon. ϟ Croyez-vous à la présence des esprits ? Et ta sœur ? Non mais sérieux, qu’est-ce tu m’baves là ? Tu veux m’faire rentrer dans ta secte, c’est ça ? J’vais te donner un conseil mon pote : don’t bullshit a bullshitter. Alors tu prends ton père, ton fils et ton saint d’esprit et tu traces la route maintenant, j’ai des pigeons à plumer moi. PRENOM/PSEUDO : Marie/mai gwern. ϟ AGE : 26 ans. ϟ LOCALISATION : expatriée en Belgique. ϟ PERSO INVENTE OU SCENARIO : inventé. ϟ T'ES ARRIVE COMMENT ICI ? c'est Cameleon qui m'a fait du forcing, ça a bien pris cinq secondes d'argumentation pour me faire fléchir. ϟ TU LE TROUVES COMMENT ? BOOM BAYBAY. ϟ FREQUENCE DE CONNEXION : régulière, disons 5j/7. ϟ DERNIER MOT : Bravo pour ce forum original, j'aime beaucoup la culture amérindienne (même si je suis loin d'être calée ) du coup j'ai pas pu résister mais bref, j'vous aime déjà et j'espère passer un bon moment parmi vous. Je suis un peu timide au début mais une fois que je me lâche ça va... enfin c'est généralement à ce moment-là qu'on se rend compte que j'ai un humour pourri et graveleux. C'est normal, ça fait partie de mon charme (ou pas). Sinon dans la vie j'étudie le cinéma et j'écris un peu tout et n'importe quoi. J'ai deux chats et un blond. Je suis fan de Supernatural et Le Visiteur du Futur et je viens de commencer Breaking Bad trente ans après la guerre, du coup j'ai ressenti la nécessité aigüe de bidouiller un truc avec Aaron (et vu que ça risque de pas être trop possible sous sa couette, je me suis rabattue sur les forums). Bon ben je crois que je vais m'arrêter là. En conclusion : WAT UP BEEEEEEYAAAATCH !
Dernière édition par Nicholas Marlow le Dim 27 Juil - 18:14, édité 12 fois |
| | | Nicholas Marlow Chants : 40 Arrivé(e) le : 21/07/2014 Avatar : Aaron Paul
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Lun 21 Juil - 22:44 | |
| I'm the pro, you're the con Ce ne sont pas ses courbes, moulées dans sa robe de soie rouge ni le bleu, lubriquement luisant de ses yeux, qui me font lever les miens du tapis vert ; son corps est chargé d’or, de diamants rutilants, mais c’est le simple anneau ornant son annulaire gauche qui suffit à attirer mon attention. Je me couche, rempoche invisiblement mes as et, d’un faux détachement, traverse la foule qui s’agite, dans la moiteur tamisée du casino, autour des tables. Mon épaule frappe la sienne ; du champagne se déverse sur un crâne chauve ; les vociférations fusent et je me confonds en excuses, tendant un billet de cinquante au petit gros avant de lui souffler à l’oreille de se rendre deux tables plus loin et de dire qu’il vient de la part de Nico. Un clin d’œil, une tape sur l’épaule, et me voilà en tête à tête avec la sirène. Un jeu de cartes surgit dans ma paume. « Un petit tour pour me faire pardonner ? » Son sourire tire sur les coutures de son lifting ; elle replace une mèche de cheveux blond platine derrière son oreille, dévoilant de courtes racines d’un gris teinté de roux. Salope. Toutes des salopes. Surtout ma mère.
Ma mère, elle m’a jamais aimé. C’est bon, rangez-moi cette coquille d’œuf ; je m’apitoie pas, je constate. Vous en connaissez beaucoup, vous, des meufs qui accouchent de leur premier gamin le jour de leur anniversaire et qui trouvent rien d’autre à dire que : « tu parles d’un cadeau » ? Ça, j’y ai eu droit chaque année, chaque six janvier, jour où cette salope pompait mon paternel et surtout son compte en banque pour avoir un nouveau zircon à faire pendouiller entre les deux obus en polymère qui lui servent de pare-chocs pendant que je déballais mes éternelles paires de chaussettes ficelées dans du papier journal. Ah non, je mens : pour mes seize ans, j’ai eu un calebard imprimé Captain America. Sauf que moi, je kiffe Batman. Bel effort quand même. Elle avait dû se dire que maintenant que j’avais la majorité sexuelle, il fallait que mon paquet soit bien emballé pour ces dames. Si elle savait qu’à l’époque ça faisait déjà trois ans que je battais les cartes (ceci n’est pas une métaphore) pour en foutre plein la vue aux meufs et leur montrer ma baguette magique (ça en revanche, c’en était une). Ouais, si elle avait su… elle y aurait pas cru, puisque je ne suis qu’un « bon à rien de délinquant à face de rat » et qui a accessoirement « gâché sa vie ». Faut dire qu’à l’aube de ses dix-huit piges, le chromosome Y de mon caryotype avait fait la nique au latex qui effectuait des va-et-vient dans sa schneck et que deux mois de pression familiale plus tard, son plan cul était devenu son mari. Mon père, ce zéro. Lui, ce qu’il sait le mieux faire, c’est fermer les yeux. Fermer les yeux sur le fait qu’il ne soit qu’une pompe à fric, que son fils se pique ou que sa femme se fasse troncher par Kevin le prof de step.
Je lui souffle de poser sa main sur le paquet et un Abracadabra plus tard, ses prunelles pétillent d’émerveillement ; elle a vu la magie mais pas les cartes, ni son bracelet, glisser de ma paume à ma manche. Elle applaudit, en demande plus et le truc aussi ; je souris mais n’ai pas le temps de battre mon paquet que des doigts se referment sur mon oreille. Naseaux fulminants, j’inspire et me retourne, prêt à postillonner ma contrariété mais reste coi en me retrouvant nez-à-épaule avec l’incriminé. Mes lèvres figées en un o anhélant, je lève lentement les yeux vers la montagne qui me gronde posément de rendre à la dame ce qui lui appartient. Je m’accroche un sourire, hausse des paumes innocentes et débute une plaidoirie qui s’étrangle dans ma gorge soudain serrée par le col de mon t-shirt qu’agrippent les couvercles de casseroles qui servent de mains à ce type. Je hoche la tête ; mes pieds touchent le sol ; j’halète, tire de ma poche le bracelet ainsi qu’un billet de cinquante que je lui jette presque. « On est cool, ok man ? » Il me fixe ; les coins de ses lèvres tressautent et il m’ordonne de tailler la route. Perdu dans la foule, accoudé au bar, je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule et le vois papillonner autour d’elle qui sourit, et lui aussi, de cet éternel sourire d’abruti qui plaît tant aux femmes mais me donne depuis trente ans l’envie de lui donner des claques, à cet imbécile heureux qui me sert de frère.
Mon frère, c’est un bâtard. Au sens propre. Souvenez-vous du prof de step… C’est bon ou je dois vous faire un dessin ? Achievement unlocked : vous êtes moins con que lui et mon daron réunis, car s’il m’a fallu dix ans pour surprendre ma reum se tripoter le buisson ardent en couinant le prénom de Kevin qui lui-même haletait à l’autre bout du téléphone et ainsi relier l’arbre à la pomme pourrie, les deux autres attardés eux, ils ont toujours rien capté. Peut-être parce que ça fait deux décennies que je trie silencieusement mes chaussettes pendant que Jason se roule dans ses fringues de marque et ses jeux vidéo, deux décennies que je tire les ficelles dans l’ombre de la tête vide qu’est la petite merveille à sa maman ; deux décennies que personne sait que je sais et tant que j’aurai besoin de cette laisse par laquelle je tiens mon bâtard de frangin pour mieux l’envoyer à la chasse au pigeon, personne saura jamais rien. Brave bête. Où que j’aille, il va et quoique je dise, il le fait : remplacer les pièces par des boutons dans le panier de la quête le dimanche matin à l’église ? Check. Rajouter de la vodka dans la sangria au jus de raisin de la boum ringarde de l’école pour soulever plus facilement les jupes des filles ? Check. Jouer le larron à ma table de bonneteau sur le parking du KFC ? Check. Abandonner môman et Boulder City pour faire de Las Vegas notre royaume ? Check. Parce que Little Big Bro a toujours raison, Little Big Bro sait ce qui est bon pour toi, Little Big Bro est là et j’ai compris que je resterai à jamais Little Big Bro la nuit où Jas m’a réveillé d’une paire de claques avant de me tourner sur le côté pour que je gerbe sur le sol et pas dans mes poumons. Pendant qu’il tirait la chasse d’eau pour faire disparaître mes seringues et qu’il jartait les deux putes à trente dollars hors de la chambre de motel, j’avais qu’une envie : l’appeler par son nom, l’appeler bâtard. Mais j’ai fermé ma gueule, je me suis laissé traîner en désintox et quand je suis revenu, mon frère m’attendait au Circus Circus avec du fric, du Dom Pérignon et de la meuf.
Mes pieds foulent sourdement l’épaisse moquette du couloir de l’hôtel, mon téléphone roule entre mes doigts et mes lèvres sifflent un air d’Ennio Morricone. Je m’arrête devant la chambre 213 et suis des yeux la trotteuse de ma montre : dans quinze secondes, ça fera vingt minutes. Cinq, quatre, trois, deux, un ; je pousse la porte, qui n’est pas verrouillée — elles ne le sont jamais. Je bondis dans la chambre, brandis mon téléphone et d’une pression du pouce immortalise le postérieur de mon frère qui s’agite entre les cuisses de la quadra. Vient le moment où elles comprennent, hurlent, frappent mais celle-ci, elle rit : un rire froid, un rire satisfait. Elle nous traite d’idiots, et nous souffle un nom, celui de son époux : Mendoza. Je sens la couleur quitter mon visage et serre les fesses : ce n’est plus nous, mais elle, qui tient les rênes des négociations. Pendant que je hoche docilement la tête en détruisant mon téléphone, Jason reste pétrifié, la nouille aussi molle que sa cervelle. « Mais sape-toi au lieu de rester planté là comme un con, putain ! » Une demi-heure plus tard, à l’arrêt de bus, il me demande si je ne veux pas dire au revoir à ma femme ; je lâche le sac rempli des quelques fringues qui constituent mes dernières possessions et lui colle une baffe en guise de réponse.
Ma femme, je l’ai vue très précisément dix-neuf fois : une première le jour de notre mariage et dix-huit autres à raison d’un jour par mois où elle me réclamait du fric et moi le divorce. Parfois, je me dis que ç’aurait été pas plus mal que Jason m’ait laissé crever dans mon vomi ou du moins, qu’il n’ait jamais organisé cette putain de teuf et encore moins laissé cette salope s’y inviter. Et vous croyez qu’elle se serait donné la peine de faire son devoir conjugal histoire de me dédommager ? Que nenni gros ! À la place, elle me suggérait d’aller me branler devant la vidéo de notre union montée par ses soins où on nous voit dans une chapelle express miteuse échanger nos vœux sur fond sonore de Tina Turner braillant son éternel I will always love you, face à un pasteur à l’air encore plus bourré que nous et sur la tronche duquel s’amène en fondu enchaîné un plan large de notre première et dernière partie de jambes en l’air, au milieu de mes cartes et d’une dizaine de cadavres de Dom Pé. Ah ouais, y’a pas à dire : c’est bandant, au moins autant que ses racines blondes qui de mois en mois se sont faites plus longues jusqu’à complètement annihiler sa putain de teinture rousse, ou que ses yeux aussi vénalement verts que ceux de ma mère. Bien sûr, elle n’a jamais signé les papiers ni moi aligné un seul billet durement gagné à la sueur du front de mes victimes mais elle s’en est toujours cogné ; elle s’est acharnée, elle s’est accrochée, comme une vieille capote collée à ma godasse mais c’est fini maintenant, pétasse : je me casse, adieu Las Vegas. Tout ça à cause de mon connard de frère qui n’a pas été foutu de se rendre compte qu’il était en train de troncher la meuf d’un seigneur du Cartel. J’ai tout perdu : mon royaume, mes pigeons, ma bagnole ; et pourtant, dans le reflet que me renvoie la vitre noire de nuit du bus qui nous emporte vers le Nord, je me surprends à sourire en imaginant ma blonde aller chialer son abandon sur les genoux du juge.
Dernière édition par Nicholas Marlow le Sam 26 Juil - 16:45, édité 13 fois |
| | | Joseph Calonllame Chants : 25 Arrivé(e) le : 20/07/2014 Avatar : milo ventimiglia
Age : 27
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Lun 21 Juil - 22:54 | |
| Eh bien ! Quel personnalité ! Encore un qui viendra se confesser a mon petit Joseph ! Bon courage pour ta fiche. Suis pressé de voir la suite :p |
| | | FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Mar 22 Juil - 5:07 | |
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| | | Kenai Jacobson Chants : 249 Arrivé(e) le : 08/07/2014 Avatar : JGL
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Mar 22 Juil - 5:52 | |
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| | | Cami S. Frye Chants : 330 Arrivé(e) le : 05/07/2014 Avatar : Will Higginson, le magnifique
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Mar 22 Juil - 8:22 | |
| - Citation :
- et vu que ça risque de pas être trop possible sous sa couette, je me suis rabattue sur les forums
tu m'as tué Bienvenue ici J'aime aussi beaucoup le début de ta fiche J'ai jamais vu BB, mais j'en ai entendu que du bien |
| | | Pelipa E. Cloud Chants : 379 Arrivé(e) le : 20/07/2014 Avatar : Kristin Kreuk
Age : 30
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Mar 22 Juil - 8:36 | |
| Houu en v'là un qui va être génial en RP, je le sens ! (Pelipa va adorer te détester, je le sens ! 8D) Bon courage pour ta fiche, le début envoie du rêve en tout cas ! |
| | | Kaya A.Frye Chants : 776 Arrivé(e) le : 20/07/2014 Avatar : Kaya Scodelario
Age : 26
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Mar 22 Juil - 9:17 | |
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| | | Nicholas Marlow Chants : 40 Arrivé(e) le : 21/07/2014 Avatar : Aaron Paul
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Mar 22 Juil - 17:30 | |
| Quel accueil, merci beaucoup tout le monde Contente que mon petit enfoiré chou vous plaise Joseph : Nico à confess' ? Trop tard, il est déjà bon pour l'enfer ! Kenai : JGL Cami : Ah bah non, meurs pas Mais dis-moi c'est une quote de Skip the Use que je vois là ? Pelipa : Mais comment pourrait-on détester Nico, il est si... euh... -cherche un truc bien à dire sur son loustic- Ouais non en fait, fais-toi plaiz, déteste-le allègrement, je crois qu'il le mérite Kaya : SPN RULES ! Et encore un merci tout le monde pour la route, vous êtes adorables
Dernière édition par Nicholas Marlow le Ven 25 Juil - 0:09, édité 1 fois |
| | | Joseph Calonllame Chants : 25 Arrivé(e) le : 20/07/2014 Avatar : milo ventimiglia
Age : 27
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Mar 22 Juil - 18:16 | |
| - Nicholas Marlow a écrit:
- Joseph : Nico à confess' ? Trop tard, il est déjà bon pour l'enfer !
Ha... C'est problématique alors |
| | | Skah E. Livingstone Chants : 489 Arrivé(e) le : 21/07/2014 Avatar : richard madden
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Jeu 24 Juil - 11:30 | |
| Bienvenuuue ! Après avoir vu la fiche de ton frère, je me dis que vous allez faire deux personnages vraiment explosifs, et j'adore le début de la tienne qui est aussi très drôle Au plaisir de RP avec toi (mais je pense pas que Skah t'aime beaucoup ) ! |
| | | Jason Marlow Chants : 64 Arrivé(e) le : 21/07/2014 Avatar : Stephen Amell
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Jeu 24 Juil - 15:41 | |
| J'te pollue yalaa! J'ai hâte de lire ton histoire |
| | | Nicholas Marlow Chants : 40 Arrivé(e) le : 21/07/2014 Avatar : Aaron Paul
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Ven 25 Juil - 11:24 | |
| Et re merci tout le monde J'essaye de me dépêcher, j'ai trop hâte de me mettre au RP Joseph : Dis donc, un pasteur en string, c'est pas très catholique tout ça Skah : Mais si, mais si, il va aimer Nico Il viendra faire un tour de cartes à Skah pour payer les repas de son frère, ça te va ? Jason : Ah non pas lui ! Pousse-toi là, tu fais baisser mon QI ! |
| | | Huyana A. Livingstone Chants : 401 Arrivé(e) le : 23/07/2014 Avatar : Troian Bellisario
Age : 36
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Ven 25 Juil - 12:11 | |
| bienvenue à toi Nicholas (même si je pense qu'Huyana aura un peu de mal avec toi).. Quel caractère, j'ai trop envie de connaître ton histoire et les péripéties qui t'ont amenées ici! (et Une anecdote d'enfaaance ?) |
| | | Gwenaëlle Harvey Chants : 50 Arrivé(e) le : 21/07/2014 Avatar : Jennifer Morrison
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Sam 26 Juil - 7:06 | |
| Aaron Paul, le seksy Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fichette |
| | | Nicholas Marlow Chants : 40 Arrivé(e) le : 21/07/2014 Avatar : Aaron Paul
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Sam 26 Juil - 16:40 | |
| Merci à vous deux les filles Et pfiou, j'ai enfin terminé |
| | | Kenai Jacobson Chants : 249 Arrivé(e) le : 08/07/2014 Avatar : JGL
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Sam 26 Juil - 16:49 | |
| Hé là, toi! Oui, toi! T'es validé(e) ! Tu viens de passer la cérémonie d'initiation haut la main et les esprits t'ont attribué comme animal totem le renard, tu rejoins donc le groupe Sly as Fox. C'est trop la classe, ta fiche plait au staff et te voilà donc avec tes couleurs C'est trop chouette, on sait. Bref, c'est maintenant que tu entres en plein pied dans la vie active de FTWOTS. On attend de toi un minimum d'intégration et tout, pour que tu te sentes à l'aise et tout ça. Anyway. Pour commencer, n'oublie pas d'aller faire ta fiche de liens pour avoir pleins d'amis. Ensuite, tu peux même aller te créer un scénario ou une famille. Puis tout le monde sait que c'est mieux d'avoir un toit pour vivre ainsi qu'un métier pour gagner sa vie. Ensuite viens la partie RP. Ce qui est chouette, c'est que tu as moyen de gagner des points qui rapportent des petites surprises chaque mois. Et si tu aimes les sensations fortes The Spirit viendra dans tes rps mettre le feu. Sinon, si tu aimes les surprises, n'hésite pas à aller réclamer un défi. Voilà, je pense que c'est tout pour le moment Le plus important, amuse toi avec nous A très vite |
| | | Nicholas Marlow Chants : 40 Arrivé(e) le : 21/07/2014 Avatar : Aaron Paul
FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute Sam 26 Juil - 17:01 | |
| Quelle rapidité, merci grand chef |
| | | FTWOTS | Sujet: Re: Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute | |
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| | | | Nicholas (+) On fait peut-être des coups de pute, mais on est pas des fils de pute | |
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